العنوان بلغة أخرى: |
Contractual Humanism: George Anawati as a Model L’humanisme Décennaire: Georges Anawati Comme Exemple |
---|---|
المصدر: | أوراق فلسفية |
الناشر: | كرسي اليونسكو للفلسفة فرع جامعة الزقازيق |
المؤلف الرئيسي: | بن دوبة، شريف الدين (مؤلف) |
المؤلف الرئيسي (الإنجليزية): | Bin Dobah, Sharif El-Din |
المجلد/العدد: | ع87,88 |
محكمة: | نعم |
الدولة: |
مصر |
التاريخ الميلادي: |
2022
|
الصفحات: | 137 - 152 |
رقم MD: | 1221393 |
نوع المحتوى: | بحوث ومقالات |
اللغة: | العربية |
قواعد المعلومات: | HumanIndex |
مواضيع: | |
رابط المحتوى: |
المستخلص: |
Modem humanism experienced unmatched currency on the global intellectual arena, the matter that was nothing but exporting ideological visions. The version of humanism unrelated to God and faith is a new project seeking to lead human society astray. The proof for this could be found in the various ideological schools dominating the international scene. Such orientations were the product of modem humanism and the philosophy of revolt and meaningless, where moral values were a target for tools of intellectual destruction. As such, human rights became a means to liberate the human being from the shackles of religion or the church; the legitimate contract between sexes became boring and strange, since human nature always desires change; legislation was dominated by degenerates who seek to legitimize their conduct; and finally new morals became an attempt to bypass the crisis of the absolute in classical ethics. Hence, we found that the brand of humanism called for by father Anawati returns humanity to its common natural, intellectual, and cultural origins. Evidence for this could be sought in Christian and Islamic anthropology. I tried in this article to cover the foundations, upon which father Anawati based his contractual humanism supported by monotheism and unity that characterized such a great personality. La tendance humaniste moderniste connut un succès littéraire et médiatique sans pareil sur l’arène intellectuelle internationale. Au début, elle n’était que la véhiculation de croyances et de visions idéologiques. Le fait de parler d’humanisme indépendant de Dieu et des croyances est un nouveau projet qui cherche à mettre la société humaine dans un état de perdition et de plainte. La preuve est les tendances intellectuelles et les écoles idéologiques que connurent les arènes intellectuelles dans le monde et qui étaient le berceau de la tendance humaniste défendue par la modernité. La philosophie de la révolution et de l’absurde sont des exemples de la perdition provoquée par la tendance humaniste en Occident où les valeurs éthiques sont la cible visée par les idéologies qui cherchèrent à détruire ces valeurs. Les droits de l’homme étaient l’introduction à la libération de l’emprise de la religion ou de l’église tel qu’ils justifièrent leurs attaques variées. C’est ainsi que le mariage officiel devint critiqué et banalisé étant donné que la nature humaine aime le changement. La légalisation devint une excuse pour les différents afin de légaliser leurs comportements, et les nouvelles éthiques devinrent une tentative intellectuelle dans le dépassement de la crise de l’absolu que comportaient les éthiques classiques. De là, nous trouvons que l’humanisme défendu par Anawati est un humanisme qui fait -revenir Fhumanité à ses origines naturelles, intellectuelles et cultures commîmes, et que l’anthropologie chrétienne et musulmane en sont les preuves. Nous essayâmes, dans cet article, d’aborder les bases sur lesquelles le père Anawati fonda l’humanisme de la croyance tout en faisant l’éloge de la tendance monothéiste et unitaire qui distingua cette personnalité grandiose. |
---|