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Dans cette recherche, nous expliquerons en détail les différentes formes de souffrance qui tourmentaient le peuple chinois à ce moment-là. Mao a une forte hostilité envers la bourgeoisie et le système capitaliste. Il défend le communisme et le socialisme. Par conséquent, il a organisé des camps dans les villages pour y envoyer des jeunes et pour créer une génération des jeunes qui n’ose pas refuser la pensée politique de Mao Zedong. De même, celle-ci impose une souffrance physique dans les camps ruraux. Nous citerons par exemple : la pénibilité du travail aux champs, le danger de la vie et l'impossibilité de travailler à l'intérieur des mines de charbon, la propagation des maladies et le manque de soins de santé dans les villages. D’un outre côté, cette recherche se met à montrer les causes de la souffrance intellectuelle des personnages du roman en présentant les crimes commis par les politiciens et les gardes rouges envers la littérature occidentale. En somme dans «La persécution politique des cultures étrangères et les crimes des gardes rouges contre la littérature occidentale», nous décrirons le résultat de la lecture de ces oeuvres et l'effet psychologique laissé sur les personnages ainsi que «La propagation de l'ignorance» qui est répandue au sein de la communauté rurale. De même, nous montrons la souffrance religieuse d'un clerc dans le roman. Cet homme qui a fait face à de nombreuses accusations politiques pour sa possession d'un livre religieux dans une langue occidentale. La présente recherche vise à dévoiler les effets négatifs de la Révolution culturelle sur les personnages de Dai Sijie dans son roman «Balzac et la Petite Tailleuse chinoise». Ces effets sont représentés aux différentes formes de la souffrance vécue par les héros de Dai Sijie.
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