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Parmi les formes de persécution les plus utilisées par la colonisation française en Algérie pendant la guerre de libération, c’était la torture étant l’un des plus dangereux moyens utilisés contre le peuple algérien là où nul ne pouvait s‘y échapper. Les prisons, les camps de concentrations, les sièges des unités militaires et les tours principales en sont toujours témoins; aussi les centres de persécution ont été implantés partout dans chaque village, douar (compagne) ou même dans un quartier à l'Algérie pendant la révolution. Quant à la question posée, la problématique de cet article repose sur le fait qu’on parle beaucoup ces dernières années sur la violation de la France des droits de l’homme en Algérie. D’autre part, les crimes qu’elle a perpétrés dont la politique de la torture coloniale dans les camps de concentrations qui ont été édifiées pendant la révolution algérienne devant le désaveu des pouvoirs français de ses crimes. Mais elle est même allé jusqu’à promulguer une loi glorifiant la colonisation en 23 février 2005. Cette problématique donne lieu à plusieurs interrogations telles que : - Qu’est-ce que la torture sous une perspective légitime ? - Peut-on considérer la torture des algériens pendant la révolution de libération comme des crimes pénalisés? et quelles sont les preuves ? - Quelles sont les différentes positions vis-à-vis la persécution coloniale française en Algérie ? On va également aborder dans cet article les points suivants: - La présentation d’une vue légale internationale; et les violations françaises en Algérie à partir de : -La loi de tribunal militaire internationale à Norberg en 1948 . - Communiqué de droits de l’homme le 10 décembre 1949 -L’accord de Genève 3 concernant les prisonniers de guerre en 1949. -L’accord de Genève 4 pour la protection des citoyens en cas de guerre en 1949. -L’accord de la non-préinscription des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité en 1968. Conformément à ladite loi, on peut répertorier les crimes français en Algérie en quatre grands types : - Crime contre la paix . - Crime cotre l’humanité - Crime de guerre. - Crime terroriste. De plus, on va mettre en relief plusieurs épreuves matérielles sur les crimes perpétrés contre le peuple algérien. D’autre part, on va aborder la position française vis-à-vis la torture en Algérie à partir de : - La position officielle. - La position des parties politiques françaises. - La position des cultivés français (des intellectuels). - La position de l’église. On va aussi mettre en évidence la position algérienne à partir de certains partis politiques, l’organisation des Moudjahidines et l’initiative de certains députés de l’assemblée populaire nationale au début de l’année 2010 pour promulguer la loi d’incrimination de la colonisation française. Par ailleurs; on va se permettre entre autres de pale de la froideur des relations franco-algériennes à cause du reniement français de ses crimes en Algérie pendant la période coloniale.
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