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The child, especially his rights, we talk about it at every opportunity and in any place. Political, civil society after the example of the FOREM, researchers from all backgrounds and of all kinds, etc., does not miss to debate with a heart and above conviction. But as good as the discussions and debates if a historical look would not come illuminate the ideas highlighted and projects to construct. To do this look will make originator issues to be formulated following the roadmap of reflection that will follow. What actually is the current position of the child in Arab and Muslim societies like Algeria in the light of the Convention of the rights proclaimed in 1989? And that place, is it in the hopes engendered by this Convention? And the child of yesterday, the first days of Islam, was much more inclined to express a well-being and desire to live far more transcendent than the child of today, what would -it these hopes and aspirations mentioned earlier?
L’enfant, surtout ses droits, on en parle en toute occasion et en tout lieu. Les politiques, la société civile à l’exemple de la FOREM, les chercheurs de tout horizon et de tout acabit, etc., n’en ratent pas une pour en débattre avec coeur et surtout conviction. Mais que valent les discussions et les débats si un regard historique ne viendrait pas éclairer les idées mises en exergue et les projets à échafauder. Pour ce faire, ce regard fera des questions princeps qui seront formulés ci-après la feuille de route de la réflexion qui en suivra. Quelle est réellement la place actuelle de cet enfant dans les sociétés arabo-musulmanes à l’instar de l’Algérie au regard de la Convention de ses droits proclamés en 1989? Et cette place, est-elle à la mesure des espoirs engendrés par cette Convention? Et si l’enfant d’hier, des premier temps de l’Islam, était beaucoup plus enclin à exprimer un bien être et une envie de vivre largement plus transcendants que ceux de l’enfant d’aujourd’hui, qu’en serait-il de ces espoirs et aspirations évoqués tantôt?
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