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Etant une nouvelle forme dans la littérature arabe, la poésie andalouse fut un thème intéressant,pour une partie grandissante de chercheurs intéressés a cette thématique (MOUTADAREQU), initié par El Hossari, après avoir été ignoré pendant plusieurs siècles, il est réapparu dans un très beau poème: Ya laylu ssabbu mata ghaduhû Ô nuit de l’amoureux pour quand son lendemain Après l’oeuvre d’El- Husary, l’unique poème qui mérite d’être cité est celui d’Ibn Nahwî, plus communément connu sous le nom de d’Al Munfarija qui signifie littéralement le “Dénouement”: Ichtaddî azmatu tanfarijî Qad âthana subhuki bi lbalajî Ô peine, durcis- toi Ton aube annoncé le Dénouement Cette importance se mesure par le faite, qu’elle représente une référence idéologique, et culturelle durant les siècles de la civilisation arabo – musulmane, mais aussi à cause de l’apparition d’un rythme de mètre appelé «MOUTADAREK «longtemps limité dans le cadre théorique. nous avons étudié le poème de IBN ENNAHAWI, intitulé «AL MUNFARIJAH qui compte quarante vers, toujours dans MOUTADAREK, et à travers le découpage du poème, nous avons, remarqué qu’il a pris l’une des deux formes suivantes:»FAHALOUN «,»fahloun «,tandis que «fahiloune «semble tout à fait absente. Pour illustrer cette démarche, nous avons choisi ce model particulier, pour montrer l’originalité de notre poète, et identifier la nouveauté qui a insufflé dans ce domaine.
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