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|b The Tunisian metropolis is a large sprawling city with a small central district because of its initial location. Urban sprawl, insufficiently accompanied by public transport, has generated intense travel in private vehicles and regular traffic jams. The accessibility has been improved and made real progress with the introduction of the "Métro Léger", a tramway initiated in the 1970s and implemented from 1985. However, since 2002-2007, a second urban rail network (the RFR: a high-speed rail network) was planned. The first line of this RFR has just been inaugurated (2019). The RFR is considered as a replica of the Metro Léger with a larger gauge and budget. Considering its service, the RFR is also an exclusively radial network, with no bypass between peripheral districts. Hyper convergence in the center, already very densely occupied and cramped, would require underground track programming, while in the city center, the multiplication of non interconnected "exchange centers (centresd’échange)" does not seem justified and would require a broader research on the urban planning of the Tunisian capital and on the “rail-metropolis” link.
|d La métropole tunisoise est une grande ville très étalée, dotée d'un quartier central réduit à cause de son site initial. L'étalement urbain, insuffisamment accompagné par les transports collectifs, a généré d'intenses déplacements en véhicules particuliers et des embouteillages réguliers. La desserte a été améliorée et a connu une réelle avancée avec l'implantation du "Métro léger", un tramway, initié dans la décennie 1970 et mis en place à partir de 1985. Dès 2002-2007, était cependant envisagé un second réseau ferroviaire urbain, le RFR, réseau ferroviaire rapide, dont la première ligne vient d'être inaugurée (2019). Réplique du Métro léger, à plus grands gabarit et budget, le RFR est, lui aussi, un réseau exclusivement radial, sans aucune rocade de desserte inter quartiers périphériques. L'hyper convergence dans le centre, déjà très densément occupé et exigu, nécessiterait une programmation des voies en souterrain, tandis que, en centre-ville, la multiplication de "centres d'échange" non interconnectés, ne paraît pas se justifier et nécessiterait une réflexion de plus grande ampleur sur l'urbanisme de la capitale de la Tunisie et sur l'articulation rails et métropole.
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