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Impact de la Répression Financière sur la Taille Désagrégée des Dépenses Publiques en Algérie

العنوان المترجم: The Impact of Financial Repression on The Disaggregated Size of Public Expenditure in Algeria
المصدر: مجلة الاقتصاد التطبيقي والإحصاء
الناشر: المدرسة الوطنية العليا للإحصاء والاقتصاد التطبيقي
المؤلف الرئيسي: Dermechi, Feriel (Author)
المجلد/العدد: مج14, ع2
محكمة: نعم
الدولة: الجزائر
التاريخ الميلادي: 2017
الشهر: ديسمبر
الصفحات: 1 - 21
ISSN: 1112-234x
رقم MD: 1198769
نوع المحتوى: بحوث ومقالات
اللغة: الفرنسية
قواعد المعلومات: EcoLink
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المستخلص: L'importance des dépenses publiques en capital et les dépenses publiques courantes dans le développement économique ne peut être trop accentuée. Dans plusieurs économies, la part des dépenses en capital dans le PIB a diminué tandis que la part des dépenses courantes a augmenté. Dans la littérature macroéconomique, cela est associé à la baisse du taux de productivité, suggérant un rôle important pour l’investissement financier d’une part et de la modernisation des services publics d’autre part. Or, l’économie Algérienne à l’instar des économies en développement semble ne pas répondre aux critères relatifs au développement financier. En effet, les dépenses en capital diminuent dans un contexte financier ultra répressif. Face à la tendance vers la hausse des dépenses courantes, cet article tente de trouver l’impact de la répression du système financier sur la taille de la structure des dépenses publiques en Algérie. En se basant sur la théorie de l’implication des finances publiques dans la répression du système financier, on teste de diverses hypothèses qui affirment que la répression financière détermine la dynamique de la taille des dépenses en capital et les dépenses courantes. L’analyse empirique nous fournit des résultats confirmatoires que le degré de la répression financière affecte négativement les dépenses capitalisées et positivement les dépenses courantes.

The importance of public capital expenditure and current public expenditures in economic development cannot be overstated. In many economies, the share of capital spending in GDP has declined while the share of current spending has increased. In the macroeconomic literature, this is associated with a low rate of productivity, which indicates an important role of financial investment on the one hand and the modernization of public services on the other. However, the Algerian economy, like the developing economies, does not seem to meet the financial development criteria. As a matter of fact, capital expenditure is falling in an ultra-repressive financial context. In the face of the trend towards increasing current expenditures, this article attempts to know the impact of financial system repression on the size of the public expenditure structure in Algeria. Based on the theory of the involvement of public finances in the repression of the financial system, we test various hypotheses that assert that fiscal repression determines the dynamics of the volume of capital and current expenditures. Empirical analysis provides us with empirical results that the degree of financial repression negatively affects capital and current expenditures positively. This abstract was translated by Dar AlMandumah Inc

ISSN: 1112-234x