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|d Nous savons bien que les techniques psychocorporelles, à travers la simple visualisation ou l’imagination, peuvent procurer un bien-être, une relaxation et une réduction du stress. En effet, depuis le training autogène de Schultz -le plus connu dans l’imagination du corps chaud et lourd afin de produire une sensation de confort- nous assistons à une montée des courants prônés dans le coaching et la thérapie qui se focalisent sur la notion de « représentation ». Toutes les techniques étudiées ont dans leur essence cet impact que le mental exerce sur le corps, notamment par le spectre de l’imagination et de la visualisation. Partant de là, nous pouvons cogiter sur notre capacité à « visualiser » une séance de physiothérapie, ou plutôt de « massage tout court » pour combattre une douleur. En effet, nous stipulons à travers notre étude la possibilité de se réaliser un massage par le simple recours à la pensée imaginative et imagée, en recueillant un soulagement authentique de cette douleur. Le cas que nous étudions est celui d’une femme de 44 ans, Angela, souffrant d’une douleur à la nuque qui répond (à la base) merveilleusement bien au massage manuel classique. Notre étude se centre sur des séances apprises en présence du psychothérapeute, puis sur une série d’autres qui s’ensuivent, administrées de leur part par la patiente elle-même. L’analyse des résultats se rattache aux scores recueillis au Questionnaire Douleur Saint-Antoine (QDSA) aussi bien lors des crises douloureuses qu’après l’administration de ce massage par imagination que nous appellerons « MPI ».
|f We know well that mind-body techniques, through simple visualization or imagination, can provide well-being, relaxation and stress reduction. Indeed, since Schultz's autogenic training - the best known in the imagination of the warm and heavy body in order to produce a sensation of comfort - we are witnessing a rise in the trends advocated in coaching and therapy which focus on the notion of “representation”. All the techniques studied have in their essence this impact that the mind exerts on the body, in particular through the spectrum of imagination and visualization. From there, we can think about our ability to “visualize” a physiotherapy session, or rather “simply massage” to combat pain. Indeed, we stipulate through our study the possibility of carrying out a massage by the simple recourse to imaginative and pictorial thought, obtaining authentic relief from this pain. The case we are studying is that of a 44-year-old woman, Angela, suffering from neck pain, which responds (basically) wonderfully to classic manual massage. Our study focuses on sessions learned in the presence of the psychotherapist, then on a series of others that follow, administered on their part by the patient herself. The analysis of the results is linked to the scores collected on the McGill Pain Questionnaire (MPQ) both during painful crises and after the administration of this imaginative massage, which we will call “MPI”. This abstract was translated by AlMandumah Inc.
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