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The study tries to describe, explain and predict according to a validated model, the entrepreneurial intention according to a procession approach. Our problem is part of a theoretical framework often used in entrepreneurial research, it is the model of the social dimensions of A. SHAPERO and L. SOKOL (1982), based on the psychosocial theory of planned behavior of I. AJZEN (1991). Our methodology is of a hypothetic-deductive nature. It is based on the verification of a range of hypotheses in a Moroccan context. Three groups of variables are retained for the validation of our hypotheses. The first group includes attitudes associated with behavior by the existence of an idea of a project. The second group contains subjective norms expressed by the need for accomplishment, the search for autonomy, the propensity to risk taking and the existence of entrepreneurial models to imitate. The last group consists of the perceptions of behavioral control contained in professional experiences, entrepreneurship education and the availability of financial, information and counseling resources. The analysis of these three groups of variables allowed us to define a model of entrepreneurial intention. This model is validated with a population of 300 individuals (students, salaried employees, and entrepreneurs in the start-up phase) who have followed or are still undergoing predominantly entrepreneurial training.
L’étude essaye de décrire, expliquer et prévoir selon un modèle validé, l’intention entrepreneuriale selon une approche processuelle. Notre problématique s’inscrit dans un cadre théorique souvent utilisé dans les recherches en entrepreneuriat, c’est le modèle des dimensions sociales de A. SHAPERO et L. SOKOL (1982), en se basant sur la théorie psychosociale de comportement planifié de I. AJZEN (1991). Notre méthodologie est de nature hypothético-déductive elle se base sur la vérification d’une panoplie d’Hypothèse dans un contexte marocain. Trois groupes de variables sont retenus pour la validation de nos hypothèses. Le premier groupe comporte les attitudes associées au comportement par l’existence d’une idée d’un projet. Le deuxième groupe contient des normes subjectives exprimées par le besoin d’accomplissement, la recherche de l’autonomie, la propension à la prise de risque et l’existence de modèles d’entrepreneur à imiter. Le dernier groupe se compose des perceptions du contrôle comportemental contenues par les expériences professionnelles, l’enseignement de l’entrepreneuriat et la disponibilité des ressources financières, d’information et de conseils. L’analyse de ces trois groupes de variable nous a permis de définir un modèle d’intention entrepreneuriale). Ce modèle est validé auprès d’une population de 300 individus (étudiants, salariés, et des entrepreneurs en phase de démarrage) qui ont suivies ou suivent toujours une formation à dominante entrepreneuriat.
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