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Le rapport du roman de Assia Djebar, «Loin de Médine», est un ensemble de faits censé être une projection de la fiction littéraire, sur les rapports de la chronique islamique. Mais cette conception semble s’estomper dès qu’on approche les propos du roman. Car comparés aux rapports de la chronique déclarée; on constate que ces premiers sont écartés du rapport originel, ou bien modifiés d’une façon compromettante, voire même inexistants; ce qui ne s’oppose pas seulement à la prétention de l’épanouissement de d’une fiction autour du fait, mais rejoint la pure diffamation, car ce fait a été si trahi qu’on ne peut prétendre à une lecture personnelle. Ce constat ce cristallise dans une déformation des commandements de le jurisprudence, qui, en aucun cas, ne peut être compromis par le rapport fictionnel.
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