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Dans le roman Les hommes qui marchent, l'analyse du temps participe à monter ses différents aspects, leurs impacts sur les hommes et les sociétés et aborder le sens et les enjeux de son évocations. Notre contribution se veut une analyse textuelle qui s'inscrit dans le cadre d'une réflexion sur les notions écriture et temps. L'auteure s'attache à construire un rapport en le temps réel et l'histoire de ses personnages. Le récit s'inscrivant alors dans l'histoire réelle de l'Algérie constitue une ressource, un repère pour la nouvelle génération, d'où le travail de mémoire et la revendication identitaire qui découlent de cette écriture dans un contexte postcolonial.
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