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Unlike the discourse, the narrative does not easily attribute words to the narrator or the character, even more so, in the case of the viewpoint. Normally, it is the un-verbalized thoughts that reveal the viewpoint. Here comes into play a number of markings or clutches building the narrator’s or character’s viewpoint according to the construction of the enunciative instances. The analysis on the novel, those that are waiting, (by Fatou DIOME) is therefore made to better be able to account for the dynamics of the diegesis and verify the already acquired idea of the omniscience of the narrator and the restriction of the character field Our work is divided into two parts. Our work is divided into two parts, the first is devoted to linguistic marks, embracing which allow the reader to locate the viewpoint of the character. And the second is dedicated to those of the narrator. To finally arrive at a synthesis describing the relationship that the narrator has with his character and draw the limits of each. If we have opted for this classification (narrator/character) to assign a viewpoint, it is less to encourage the reader to deconstruct the texts to produce classifications that do not bring interest, than to account for the dynamism of the diegesis.
Contrairement au discours, le récit ne permet pas facilement d’attribuer des paroles au narrateur ou au personnage, encore plus, dans le cas du point de vue. Normalement, ce sont les pensées non verbalisées qui révèlent les PDV. Dans ce cas entre en jeu un certain nombre de marquages ou embrayeurs construisant le PDV du narrateur ou du personnage selon la construction des instances énonciatives. L’analyse du roman, celles qui attendent, (de Fatou DIOME) est donc faite pour mieux pouvoir rendre compte de la dynamique de la diégèse et vérifier l’idée déjà acquise de l’omniscience du narrateur et de la restriction du champ de personnage Notre travail est divisé en deux parties, la première est consacrée aux marques linguistiques, embrayeurs qui permettent au lecteur de repérer le PDV du personnage. Et la deuxième est dédiée à ceux du narrateur. Pour enfin arriver à une synthèse décrivant la relation qu’entretient le narrateur avec son personnage et dessiner les limites de chacun. Si nous avons opté pour cette classification (narrateur/personnage) pour attribuer un PDV, c’est moins pour inciter le lecteur à déconstruire les textes pour produire des classifications qui n’apportent pas d’intérêt, que pour rendre compte du dynamisme de la diégèse.
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