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Ce travail explore l'orientalisme au XIXe siècle à travers les oeuvres des peintres Ingres, Delacroix, et Gérôme. Il examine comment ces artistes ont contribué à forger l'imaginaire occidental de l'Orient, le présentant à la fois comme un lieu de mystère, de sensualité, et de décadence. En s'appuyant sur des voyages, des récits et des fantasmes, ces peintres ont créé des images qui ont non seulement capturé l'attention du public européen, mais ont également renforcé un sentiment de supériorité occidentale. Le texte aborde également l'impact de ces représentations sur la perception contemporaine de l'Orient et souligne la nécessité de réévaluer ces oeuvres à la lumière des critiques modernes, notamment celles d'Edward Saïd.
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