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Cette recherche entrevois que l'oral dans l'enseignement du Français en Libye, précisément au département du français à l'université de Misurata, est rompu irrégulièrement dans son prolongement. En égalité avec l'écrit, l'apprentissage de l'oral n'est pas prolongé au long des huit semestres. Les cours basées du manuel (Compréhension et expression orale A1-A2/B1-B2) sont présentées seulement durant les quatre premiers semestres (A1-A2), puis elles trépassent durant les quatre derniers semestres (B1-B2). Vu ce constat, ce présent travail évalue d'abord la place donnée à l'oral depuis l'approche traditionnelle jusqu'à nos jours, ensuite il s'interroge sur le fait que l'oral devrait-il être appris ou enseigné ? L'une des particularités de ce travail, c'est qu'il ne s'est pas préoccupée d'analyser les difficultés et les obstacles dans l'apprentissage de l'oral chez les apprenants Libyens, mais de repérer d'abord la démarche de l'oral dans cette insuffisance d'acquisition, puis poursuivre sa position dans les méthodes d'enseignement, de là, être en mesure de supposer des façons d'agir pour pallier les carences, et fournir une assistance adéquate aux enseignants dans leur fonction. L'observation détective des approches et des méthodes (FLE/FLS) a abouti à remettre en question les activités proposées dans l'apprentissage de l'oral, afin de percevoir celles qui puisse renforcer le processus d'apprendre à s'exprimer et à produire oralement. Les résultats ont mené à supposer une décadence entre les activités proposées et les aptitudes éducatives et culturelles des apprenants Libyens lors de l'apprentissage de l'oral. Les suggestions prônées pour accabler ce décalage sont mise en alternative pour aider les enseignants à détecter leur propre perception pour rendre l'apprentissage de l'oral plus approprié.
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