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|b The translation of the Holy Qur'an has not ceased to cause ink to flow. Since the first drafts of the French translations of the Celestial Book of the Islamic Religion by Du Ryer, Antoine Galland, Savary or Kazimirski, translations made by Muslims have multiplied. That of the eminent Indian scholar Mohammed Hamidullah has been a landmark. It was taken up and revised by the King Fahd Complex for the printing of the Holy Qur'an in the holy city of Medina, cradle of Islam. This amended version, which proposed to focus on the dogmatic dimension of the text and to rid it of all deviations from pure monotheism, was intended to provide a well-known product, but this was not always the case, either at the ideological level or at the level of translation faithful to the original text. We took a sample of this revised translation, in the form of the Qur’anic Sura No. 22 Al-Hajj to carry out a comparative study between hamidullah’s version and the revised Saudi version, King Fahd Complex for the printing of the Holy Qur'an, in order to see at close what this latest version brings to that of the Indian scholar and in what way it wrongs him, while referring to three other famous Koranic translations, including that, the latest, of our gifted colleague, Dr. Nebil Radhouane, to make the distinction.
|d La traduction du Saint-Coran n’a pas cessé de faire couler de l’encre. Depuis les premières ébauches des traductions françaises du Livre Céleste de la religion islamique par Du Ryer, Antoine Galland, Savary ou Kazimirski, les traductions faites par des musulmans se sont multipliées. Celle de l’éminent érudit indien Mohammed Hamidullah a fait date. Elle fut reprise et révisée par le Complexe du Roi Fahd pour l’impression du Saint Coran dans la sainte ville de Médine, berceau de l’Islam. Cette version amendée qui s’est proposé de focaliser sur la dimension dogmatique du texte et de le débarrasser de toutes les entorses au monothéisme pur devait apporter un produit bien fignolé mais ce ne fut pas toujours le cas, que ce soit au niveau idéologique ou au niveau de la traduction fidèle au texte de départ. Nous avons pris un échantillon de cette traduction révisée, sous forme de la sourate coranique N° 22 Al-Hajj pour procéder à une étude comparative entre la version de Hamidullah et la version saoudienne, du Comlexe du Roi Fahd, révisée, en vue de voir de près ce que cette dernière version apporte à celle de l’érudit indien et en quoi, elle lui porte tort, tout en se référant à trois autres traductions coraniques célèbres, dont celle, la dernière en date, de notre collègue doué, Dr. Nebil Radhouane, pour faire la part des choses.
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