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La traduction joue un rôle indispensable dans la présentation et la diffusion de la littérature étrangère au Japon. C’est grâce à la traduction que l’on découvre tout écrivain du monde non seulement dans le divertissement mais aussi dans les recherché académiques. En tant que traductrice de L’Amour, la fantasia, la première traduction en japonais d’Assia Djebar parue en 2011, je me pencherai d’abord sur ce qu’a apporté la traduction des deux romans de l’auteure (La Femme sans sépulture en meme année), sur leur réception dans ce pays d’Extrême-Orient où la présence de la literature algérienne, surtout celle des femmes, est quasi inaperçue. La traduction contribuera désormais à l’enrichissement de l’étude de cette littérature au Japon. D’autre part, l’expérience de la traduction m’a donné une précieuse occasion de lire minutieusement l’œuvre d’Assia Djebar.
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